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Par picor le 12 Septembre 2011 à 21:01
Merci pour ces bons anniversaires en rafales soufflés par little brother; j'étais plutôt discret ces dernières années sur ce délicat moment du 11/09 où je craignais les mauvais tours du grand frère (dit big brother)
J'étais hier pour cette étape infernale dans la course du temps au Forum des associations de Brive (dite la gaillarde) où parfois il se passe quelque chose en dehors du rugby (dit gaillard) , Violette, ma fille unique et donc préférée, s'est pointée avec un gros bouquet pour son papa (donc moi, vous suivez !) au moment où le maire me présentait le nouveau sous-préfet, personne à belle prestance également mais qui ne n'a pas fait oublier ma dernière rencontre avec cet étage hiérarchique de la haute administration; l'autre fois cela se passait à Frisco, fin année 70, un sous-pref très gay d'allure nous avez invité dans une party pour un thank giving day mémorable et historique, le maire de la ville de San francisco s'étant fait descendre le matin même dans son city hall , événement complètement consécutif au suicide record collectif des 900 personnes en Guyana , en général d'origine californienne. Une autre époque, n'est-ce-pas ? où le collectif s'affirmait aussi dans le défilé aux bougies qui s'ensuivit dans la rue heberluée et pendant ce temps là, la dinde refroidissait : et moi qui n'aime pas manger froid, on est jamais tranquille.
Donc merci collectif à tous les participants de ce microforum tout en ne sachant pas bien qui voit quoi et quoi voit qui sur le miroir du petit frère ; alors merci à Camille, Gautier , Bertrand, Pierre, Philippe, Pattie ( l'ange de la ville des Anges) et Hervé que j'invite cordialement à nos activités biodiverses et locales, mais on devrait se rencontrer entre deux arbres de Brive.
Bye !, le bus arrive.DG
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Par picor le 30 Janvier 2011 à 11:43
Et voilà du très gai
car le gai n'est pas laid
mais mon lait d'encrier
l'est par tes longs délais
ouvrant ses ondes d'oublis
le drap du temps se replie
étouffant en son lit
notre plus pur délit
le froid et puis la pluie
sèment des jours d'ennui
et font du matin nuit
des espoirs qui ont fui
où es-tu Ma-liane ?
fraîche et provocante
dans ton cœur de mante
aux mandibules en panne
laisse tu choir l'idée ?
de notre belle entente
pour en voir se vider
la fusion dans la pente
où es-tu Ma-liane ?
que je sache où mon âme
ira boire dans le drame
d'un futur qui se fane
où es-tu étrangère ?
veilles-tu tes moutons
par ton jeu de bergère
soignes-tu leurs boutons
laisses-tu boire le temps ?
au bol de nos émois
pour oublier le chant
des cœurs et de leur choix
prépares-tu le nid ?
nouveau du réconfort
pour emmener ta vie
mourir au dernier port
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